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Ses habitants, les Wischois ...    L' article intitulé "maires de Wisches - Hersbach» du N°150 de l' Essor nous informe" ... << au début du 19e siècle, l'élite du village est principalement constitué par trois lignage, à savoir GANIER, CHARTON, DOUVIER. Ces familles de notables entretiennent de nombreuses relations entre elles, matrimoniales et autres.
En effet de 1796 à nos jours 24 maires ont dirigés la commune de Wisches - Hersbach et GANIER est le nom de famille de 8 maires et 6 autres ont des liens de parenté très proches ( père, frère, petit fils ) >>
 
C' est au 18e siècle que Wisches devient le berceau de la famille GANIER. En effet, sur plusieurs actes on retrouve la trace de la majorité des enfants de Nicolas Ganier (1713-1773) né à Rothau.  
 
LE PATRONYME GANIER
 
Avant 1738, on peut noter diverses transcriptions du patronyme: GASNIER, GAGNIER, GAGNIERE, GAGNER, GANNIER qui pourraient signifier «de gagnerie (lieu où vont paître les troupeaux, le gibier)...dictionnaire des noms de Famille de Philipe Lagneau, ou plus simplement Gagnier (Guaignier,1160 «procurer de la nourriture, du butin…»)...petit Robert.
Ce patronyme est présent également, dès le 17 ème siècle, à Bisqueley (54).
 
NOS ANCETRES
 
Ces résultats sont le fruit des recherches effectuées par les familles Alain Ganier et Michel Ganier, confirmés assez sûrs par un généalogiste.
 

Les aïeuls de Nicolas GANIER ( Baptisé le 18.01.1652 à Rothau, décédé le 28.12.1725) pourraient être:
 
Isaac GAIGIER ou GUAINGIER né vers 1610 à Rothau, bourgeois
 
Michel Jehan GANNIER ou GAGNIER décédé le 19.07.1663 à Natzviller,
         protestant converti au catholicisme 1655.
 
Jean Michel (Jehan) GANNIER ou GAGNIER né le 27.05.1652 à Neuviller.
 


Nicolas Ganier a eu un fils qu' il prénomma également Nicolas, né le 10.02.1713 à Rote (Rothau), marié le 15.04.1738 avec Marie Sarah DROUOT dit LAMARCHE.
 
… et c' est véritablement là que commence l' histoire de la famille GANIER.
Wisches est un gros village francophone de la vallée de la Bruche à près de cinquante kilomètres de Strasbourg
 
Jusque dans les années soixante on y parlait encore le patois, le «welsch» comme disent les Alsaciens, nous lui préférons le terme de " patois roman"
Les Ganier de Wisches
Photo Alain Huber